Sparassis crépu ? Aide pour déterminer un champignon
Ce forum permet de montrer des photos de champignons et de discuter sur leur détermination.
Attention: ces déterminations ne permettront pas une consommation des champignons !!!
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En l'occurrence, Sparassis crispa est donné comme comestible, mais à l'état jeune, avant tout brunissement du champignon.
Il ne nous est pas possible de présumer de cet état sur une photo...
Par ailleurs, il existe en effet un autre Sparassis poussant sous les feuillus et sans valeur culinaire. Il s'agit de Sparassis laminosa, dont les "lanières" sont plus aplaties et peu crispées.
Il ne nous est pas possible de présumer de cet état sur une photo...
Par ailleurs, il existe en effet un autre Sparassis poussant sous les feuillus et sans valeur culinaire. Il s'agit de Sparassis laminosa, dont les "lanières" sont plus aplaties et peu crispées.
Yves
UN CORPS FROID NE PEUT PAS CHAUFFER UN CORPS CHAUD
UN CORPS FROID NE PEUT PAS CHAUFFER UN CORPS CHAUD
Little-Kaplan a écrit :Ce type de champignon pourrait être facilement confondu avec un autre qui lui serait très ressemblant ? Et qui pourrait être toxique.Oui tu as tout compris !
Je comprends mieux pourquoi on ne parle pas de champignons comestible car cela présenterait des risques a dire de simples oui ou non a partir d'une photo. Je le saurais pour la prochaine fois ;)
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Bonjour Little-Kaplan,
Le plaisir de consommer sa récolte a été, et sera encore, le moteur qui pousse de nombreuses personnes vers la mycophilie, qui apporte des satisfactions dépassant, ensuite, de beaucoup, cette préoccupation initiale.
Mais on n'élargit pas le nombre des espèces que l'on peut consommer sans risque d'un coup de baguette magique, car, en s'intéressant aux champignons, on comprend vite que de nombreux comestibles ont des sosies immangeables, toxiques, ou même mortels.
Ainsi, pour découvrir de nouvelles espèces comestibles, il faut aussi apprendre à en reconnaître une foule de non comestibles, pour les identifier à coup sûr.
Puis, peu à peu, la mycophilie fait que l'on ne rentre plus jamais des bois bredouille.
Faute de comestibles, on récolte des spécimens inconnus, non plus pour les cuisiner, bien entendu, mais pour le simple plaisir de les identifier (hum... pour essayer de les identifier, disons ). Un plaisir valant bien celui de la casserole. :)
Au fil de ces plaisirs d'apprentissage, on retrouve dans les bois des espèces immangeables que l'on a appris à reconnaître, et on se surprend à prononcer leur nom quand on les reconnait, comme de vieilles connaissances.
Bref, ça change totalement notre rapport à la nature dans son ensemble, on y trouve une complicité nouvelle à chaque sortie.
Là est le vrai plaisir.
Et les espèces nouvelles comestibles que l'on récoltera parfois, avec une prudence de sioux, sous sa seule responsabilité et avec l'avis de vrais connaisseurs de préférence, deviennent un simple bénéfice secondaire au vrai plaisir de la mycophilie.
Amen.
Un bon manuel, complet, est vite indispensable pour commencer en connaissance des champignons.
Pour les débutants absolus, un manuel proposant deux ou trois cent espèces seulement peut paraître plus facile d'accès, mais il s'avèrera vite insuffisant pour avancer.
Le plaisir de consommer sa récolte a été, et sera encore, le moteur qui pousse de nombreuses personnes vers la mycophilie, qui apporte des satisfactions dépassant, ensuite, de beaucoup, cette préoccupation initiale.
Mais on n'élargit pas le nombre des espèces que l'on peut consommer sans risque d'un coup de baguette magique, car, en s'intéressant aux champignons, on comprend vite que de nombreux comestibles ont des sosies immangeables, toxiques, ou même mortels.
Ainsi, pour découvrir de nouvelles espèces comestibles, il faut aussi apprendre à en reconnaître une foule de non comestibles, pour les identifier à coup sûr.
Puis, peu à peu, la mycophilie fait que l'on ne rentre plus jamais des bois bredouille.
Faute de comestibles, on récolte des spécimens inconnus, non plus pour les cuisiner, bien entendu, mais pour le simple plaisir de les identifier (hum... pour essayer de les identifier, disons ). Un plaisir valant bien celui de la casserole. :)
Au fil de ces plaisirs d'apprentissage, on retrouve dans les bois des espèces immangeables que l'on a appris à reconnaître, et on se surprend à prononcer leur nom quand on les reconnait, comme de vieilles connaissances.
Bref, ça change totalement notre rapport à la nature dans son ensemble, on y trouve une complicité nouvelle à chaque sortie.
Là est le vrai plaisir.
Et les espèces nouvelles comestibles que l'on récoltera parfois, avec une prudence de sioux, sous sa seule responsabilité et avec l'avis de vrais connaisseurs de préférence, deviennent un simple bénéfice secondaire au vrai plaisir de la mycophilie.
Amen.
Un bon manuel, complet, est vite indispensable pour commencer en connaissance des champignons.
Pour les débutants absolus, un manuel proposant deux ou trois cent espèces seulement peut paraître plus facile d'accès, mais il s'avèrera vite insuffisant pour avancer.
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D'accord merci pour vos informations.
Le champignon est un peu brun, donc peut être un peu agé. Dans le doute je ne vais pas le manger même si l'envie est la ^^ J'en aurais appris sur ce chapignon :)
Le champignon est un peu brun, donc peut être un peu agé. Dans le doute je ne vais pas le manger même si l'envie est la ^^ J'en aurais appris sur ce chapignon :)
Lilian a écrit :Le plaisir de consommer sa récolte a été, et sera encore, le moteur qui pousse de nombreuses personnes vers la mycophilie, qui apporte des satisfactions dépassant, ensuite, de beaucoup, cette préoccupation initiale.Que c'est bien dit !
Mais on n'élargit pas le nombre des espèces que l'on peut consommer sans risque d'un coup de baguette magique, car, en s'intéressant aux champignons, on comprend vite que de nombreux comestibles ont des sosies immangeables, toxiques, ou même mortels.
Ainsi, pour découvrir de nouvelles espèces comestibles, il faut aussi apprendre à en reconnaître une foule de non comestibles, pour les identifier à coup sûr.
Puis, peu à peu, la mycophilie fait que l'on ne rentre plus jamais des bois bredouille.
Faute de comestibles, on récolte des spécimens inconnus, non plus pour les cuisiner, bien entendu, mais pour le simple plaisir de les identifier (hum... pour essayer de les identifier, disons ). Un plaisir valant bien celui de la casserole. :)
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Tout est dit ou presque... J’ai tout de suite été conquis par Lilian, dès son premier post. Une façon de parler, un style, parsemé d’humour et d’autodérision. Le contraire absolu d’un fat. Il en faudrait d’autres comme lui!
http://www.francini-mycologie.fr/index.html • Myco-botaniste passionné! • Nikon D90 - F-S DX 18-200 mm f:3,5/5,6 G ED VRII - AF-S Nikkor 105 mm macro f:2.8 G ED - Micro Nikkor 60 mm f:2.8
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Y.Courtieu a écrit :Oui c'est moi qui avait demandé de ne pas employer ce genre de méthodes qui est coercitif et digne des intégristes.Entierrement d'accord avec vous :) , après j'arrive très bien a imaginé l’agacement que peut procurer certains post , mais comme j'ai dit ailleurs un grand pouvoir implique de grandes responsabilité :) , je m'occupe d’identifier les espèces pour des gens de ma famille , des amis et autres , alors que moi j'en mange pas , tout en rappelant les règles de sécurité et de vigilance et je suis loin du niveau formidable en terme de connaissances de ce forum , je pense que c'est un peu à nous (enfin à vous ^^) d'aider les gens et de parfois accepter que nous avons pas tous la même approche des champignons , après encore un fois je comprend totalement vos postions :)
Je persiste et je signe.
Que signifierait de cloturer d'emblée un message sans donner aucune explication ?
Didier fait un rappel aux règles. C'est ce qui convient...
Le but de ce forum est d'apprendre à reconnaître les champignons et n'est pas de répondre aux demandes de comestibilité.
Ne pas le dire, avant de clore un sujet, me choque profondément, Fouad, désolé
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